Trilport, le 5 Mai 2019                           
Chères Trilportaises, Chers Trilportais,
En application des dispositions du IV de l'article 6 de la loi N°2004-575 du 21 Juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique, le maire de Trilport nous a adressé par l'intermédiaire d'un avocat parisien une demande de Droit de Réponse à notre " Lettre Ouverte Aux Trilportais n°3 ".
Réponse du maire de Trilport :
Le mot carence n'est effectivement pas approprié mais la commune de Trilport n'a pas rempli ses objectifs en matière de logements sociaux et de ce fait elle doit s'acquitter en 2019 d'un montant de 13 938,38€ pris sur les ressources fiscales de la commune, c'est-à-dire vos impôts puisque le maire de Trilport n'a pas fait le nécessaire pour éviter ce prélèvement.
Nous vous laissons le soin de vous faire votre propre opinion sur l'attitude du maire qui tente une nouvelle fois de se dédouaner des conséquences induites par la mauvaise gestion des dispositions SRU.
A cet égard nous vous renvoyons page 2 de notre lettre n° 3 où il est écrit sans que cela ait été contesté : " Le Maire ne maîtrise plus l'urbanisme de notre commune. Pourquoi ? Car le Maire a été contraint de signer un contrat de mixité sociale en 2009 avec obligation de signer une convention foncière avec l'Etablissement Public Foncier d'Île de France (EPFIF), de lui déléguer le droit de préemption et de dégager des zones à construire au PLU. "
Bien à vous,
Eric KRAEMER
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